La montée en popularité des documentaires sur les vrais crimes peut sembler être un phénomène contemporain – grâce au modèle des séries binge-able sur Netflix qui permettent aux réalisateurs de faire une plongée plus profonde par rapport à un film traditionnel de deux heures – mais bien sûr, les créateurs de l’industrie explorent la criminalité, les comportements bizarres et les circonstances mystérieuses depuis des décennies. Ce n’est peut-être que maintenant, cependant, que ces histoires de la vie réelle semblent d’autant plus terrifiantes parce que nous pouvons disséquer les rebondissements de l’intrigue en cours de route comme des limiers amateurs.
Mais qu’est-ce qui fait exactement un bon documentaire sur le vrai crime ? Est-ce la poursuite de la justice ? Est-ce l’exonération d’une personne innocente ? Est-ce la résonance émotionnelle que ce que vous regardez s’est réellement produit ? Peut-être que lorsqu’il s’agit de vrai crime, c’est les trois.
Pour ceux d’entre vous qui croient vraiment que la vérité est plus étrange que la fiction, voici les 29 meilleurs documentaires sur le vrai crime que chaque lecteur de Highsnobiety devrait voir au moins une fois.
*minor spoilers follow*
Evil Genius : The True Story of America’s Most Diabolical Bank Heist
Année : 2018
Réalisatrice : Barbara Schroeder
Rotten Tomatoes : 80 %
Note de la rédaction : Ce qui fait souvent un grand documentaire sur les vrais crimes, c’est qu’il y a une partie de vous qui a l’impression que le sujet est manifestement innocent, et une autre partie de vous qui a l’impression qu’il est évident qu’il a été complice du crime. C’est le cas dans Evil Genius. Un livreur de pizza est apparemment victime d’un complot élaboré lorsqu’il est équipé d’une bombe autour du cou et qu’on lui demande de braquer une banque. Lorsque cela se termine mal, la police doit évaluer si oui ou non il a joué un rôle dans sa propre disparition.
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The Keepers
Année : 2017
Réalisateur : Ryan White
Rotten Tomatoes : 97 pour cent
Note de la rédaction : The Keepers semble très identifiable même si vous n’avez jamais mis les pieds dans une église catholique. Le duo se concentre sur deux femmes d’une soixantaine d’années dont la vie a été influencée par une enseignante, Sœur Cathy, et tente de comprendre ce qui lui est arrivé lorsqu’elle s’est volatilisée. En creusant les mouvements de Cathy les jours et les heures précédant sa disparition, ils découvrent en cours de route un ensemble de crimes plus profonds et plus sombres.
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The Staircase
Année : 2004
Réalisateur : Jean-Xavier de Lestrade
Rotten Tomatoes : 94 pour cent
Note de la rédaction : L’Escalier est un témoignage de l’engagement du cinéaste Jean-Xavier de Lestrade envers la vérité. Ce qui a commencé en 2004 a bouillonné à nouveau à la surface en 2018, alors que les développements de l’affaire se sont poursuivis. En faisant tourner les caméras dès le début – contrairement à d’autres documentaires sur les vrais crimes qui s’appuient sur des souvenirs après coup – le spectateur est invité à pénétrer dans le cercle intime d’un homme accusé d’avoir assassiné sa femme dans un escalier. Le film se déroulant sur une longue période, le bilan physique de Michael Peterson est quelque chose d’indéniable, que l’on pense qu’il est innocent ou coupable.
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The Innocent Man
Année : 2018
Réalisateur : Ross M. Dinerstein & Clay Tweel
Rotten Tomatoes : 71 %
Note de la rédaction : Au cours de sa longue et illustre carrière, l’écrivain John Grisham ne s’est plongé qu’une seule fois dans le genre de la non-fiction. Choisissant de concentrer son attention sur une série de meurtres macabres dans la petite ville d’Ada, en Oklahoma, The Innocent Man est un réquisitoire cinglant contre les forces de l’ordre et le manque de volonté de l’État de réparer un tort perçu.
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The Jinx : La vie et la mort de Robert Durst
Année : 2015
Réalisateur : Andrew Jarecki
Rotten Tomatoes : 95 pour cent
Note de la rédaction : Il est presque impossible de fournir un résumé concis pour The Jinx en raison du comportement absolument fou du sujet du titre, Robert Durst. Ce que nous pouvons dire, c’est que souvent, les documentaires sur les vrais crimes sont critiqués – ou semblent à moitié cuits – parce que les spectateurs veulent des réponses définitives à la fin. Dans le cas de The Jinx, vous obtenez quelque chose d’aussi proche de la validation que vous n’aurez jamais à l’écran.
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Tickled
Année : 2016
Réalisateur : David Farrier & Dylan Reeve
Rotten Tomatoes : 94 pour cent
Note de la rédaction : « Chatouillement d’endurance compétitif » ressemble à quelque chose que l’on trouverait dans un livre de Mad Libs. Et pourtant, c’est quelque chose de bien réel qui a intrigué le journaliste David Farrier qui a entrepris d’enquêter sur ce qu’il pensait être simplement un « sport » bizarre et fantaisiste comme les gens qui jouent au Quidditch dans Harry Potter. Au lieu de cela, Farrier a trouvé une histoire d’horreur diabolique qui ressemblait à un film fétichiste qui aurait complètement mal tourné.
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The Imposter
Année : 2012
Réalisateur : Bart Layton
Rotten Tomatoes : 96 pour cent
Note de la rédaction : En 1994, Nicholas Barclay, 13 ans, est porté disparu à San Antonio. Trois ans plus tard, sa famille pensait que le pire était arrivé, mais elle fut ravie de recevoir un appel des autorités espagnoles leur annonçant qu’elles l’avaient retrouvé. Seul problème : Nicholas avait les yeux bleus et les cheveux blonds, et cette nouvelle version avait les yeux bruns et l’accent français. Ravie que Nicholas soit de retour dans leur vie, sa famille était prête à passer outre le fait qu’il s’agissait clairement d’un imposteur se faisant passer pour leur fils.
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Soaked in Bleach
Année : 2015
Réalisateur : Benjamin Statler
Rotten Tomatoes : 76 pour cent
Note de la rédaction : Le monde entier a semblé être en deuil lorsque le leader de Nirvana, Kurt Cobain, s’est suicidé en 1994 – acceptant le fait qu’une grave dépression l’avait poussé à prendre une arme. Raconté à travers le point de vue de Tom Grant, le détective privé qui a été engagé par Courtney Love, il déballe plusieurs détails qui, selon lui, réfutent la théorie de longue date – comme la quantité de drogues dans l’organisme de Cobain – et la façon dont la douille du fusil de chasse a atterri.
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Dear Zachary : A Letter to a Son About His Father
Année : 2008
Réalisateur : Kurt Kuenne
Rotten Tomatoes : 94 pour cent
Note de la rédaction : Dear Zachary : A Letter to a Son About His Father est autant une enquête sur un meurtre qu’un drame familial déchirant. Lorsque le Dr Andrew Bagby, 28 ans, est retrouvé mort dans un parc, les autorités se concentrent sur son ex-petite amie, Shirley Jane Turner. Turner a fini par s’enfuir au Canada et a rapidement annoncé qu’elle était enceinte de l’enfant de la victime (Zachary). Le réalisateur, Kurt Kuenne, connaissait Bagby et avait l’intention d’interviewer des parents et des amis pour que Zachary puisse se faire une idée de ce qu’était Andrew. Comme cela tend à être le cas dans les documentaires sur les vrais crimes, l’histoire de Kuenne le fait passer de l’hommage affectueux à l’horreur absolue.
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Long Shot
Année : 2017
Réalisateur : Jacob LaMendola
Rotten Tomatoes : 85 pour cent
Note de la rédaction : L’un des attributs caractéristiques de la série Curb Your Enthusiasm de Larry David est que sa personnalité grossière le met dans des situations terribles. Dans Long Shot, c’est le contraire qui se produit. Centré sur Juan Catalan, qui a été arrêté pour un meurtre qu’il dit ne pas avoir commis, il croit que son alibi viendra des images brutes tournées pendant que David filmait Curb Your Enthusiasm lors d’un match des Dodgers de Los Angeles.
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Wild Wild Country
Année : 2018
Réalisateur : Maclain Way & Chapman Way
Rotten Tomatoes : 98 pour cent
Note de la rédaction : Wild Wild Country est un autre doc sur les vrais crimes qui ne rentre pas dans un synopsis bien rangé. Bien que cela puisse indiquer une intrigue confuse, cela ne pourrait pas être plus éloigné de la vérité. Il s’agit plutôt d’une histoire aux textures superposées qui combine des éléments de pèlerinages religieux transatlantiques, une société quasi-utopique, un empoisonnement de masse et une tentative de meurtre. Et bien sûr, il y a Ma Anand Sheela, l’une des figures les plus intéressantes de mémoire récente.
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Paradise Lost : Les meurtres d’enfants à Robin Hood Hills
Année : 1996
Réalisateur : Joe Berlinger & Bruce Sinofsky
Rotten Tomatoes : 100 pour cent
Note de la rédaction : Lorsque les corps de trois jeunes garçons sont retrouvés dans un fossé dans une zone boisée de West Memphis, Arkansas – connue sous le nom de « Robin Hood Hills » – la police arrête trois adolescents qui seront connus dans la culture populaire sous le nom de « West Memphis Three » (dans le cadre d’une trilogie de films sur le même sujet). Invoquant un lien avec le satanisme, on se hâte de juger le caractère des adolescents, ce qui illustre que leur procédure régulière a été piétinée en cours de route.
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The Thin Blue Line
Année : 1988
Réalisateur : Errol Morris
Rotten Tomatoes : 100 pour cent
Note de la rédaction : Sans The Thin Blue Line d’Errol Morris, le genre du documentaire sur les vrais crimes n’existerait probablement même pas. En se concentrant sur Randall Dale Adams, un vagabond qui a été accusé du meurtre d’un policier de Dallas et envoyé dans le couloir de la mort, le film intègre tous les éléments que nous savons associés à une histoire vraie racontée avec goût ; des reconstitutions filmées avec art, des interviews éclairantes et une partition obsédante.
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Making a Murderer
Année : 2015
Réalisatrice : Laura Ricciardi & Moira Demos
Rotten Tomatoes : 84 pour cent
Note de la rédaction : S’il y avait un exemple contemporain en streaming de l’impact que The Thin Blue Line a eu sur le vrai crime au cinéma à la fin des années 80/début des années 90, c’est certainement Making a Murderer. Après avoir passé 18 ans en prison pour avoir été condamné à tort pour agression sexuelle, Steven Avery va apparemment reprendre le cours de sa vie. Mais son séjour à l’extérieur est de courte durée lorsqu’il est à nouveau arrêté pour une autre accusation de meurtre qu’il nie catégoriquement avoir commis. Les réalisateurs déchirent ce qu’ils pensent être un parti pris des forces de police locales, et examinent lourdement l’impact des techniques de coercition utilisées contre les mineurs déficients intellectuels.
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There’s Something Wrong With Aunt Diane
Année : 2011
Réalisatrice : Liz Garbus
Rotten Tomatoes : 62 pour cent
Note de la rédaction : Alors qu’elle conduisait un minivan à contresens sur la Taconic State Parkway de New York, Diane Schuler, une résidente de Long Island âgée de 36 ans, a fini par se tuer, ainsi que sa fille de 2 ans, ses trois nièces et les trois hommes qu’elle a percutés de plein fouet. L’autopsie qui a suivi a révélé que Mme Schuler avait de la marijuana dans son organisme et un taux d’alcoolémie de 0,19 (plus du double de la limite légale). Bien que cela suggère une tendance à l’abus de substances, ceux qui connaissaient Schuler ont été déconcertés par ce qui a déclenché une telle erreur de jugement tragique et hors de caractère.
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The Central Park Five
Année : 2012
Réalisateur : Ken Burns
Rotten Tomatoes : 93 pour cent
Note de la rédaction : Ken Burns est un autre cinéaste documentariste dont la réputation le précède – ayant couvert des sujets allant du passe-temps de l’Amérique au jazz. The Central Park Five se concentre sur l’agression brutale de Trisha Meili, en 1989, à l’intérieur de la populaire parcelle de terre herbeuse de New York. Cinq adolescents noirs et latinos de Harlem ont été reconnus coupables du crime après des heures d’interrogatoire qui ont abouti à des aveux. Pourtant, ils n’y sont pour rien.
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Cocaine Cowboys
Année : 2006
Réalisateur : Billy Corben
Rotten Tomatoes : 69 pour cent
Note de la rédaction : Lorsque la cocaïne a pénétré le marché américain, le résultat a été double ; pour ceux qui consommaient la drogue, c’était une fête qui semblait ne jamais finir, et pour ceux qui étaient tangiblement impliqués dans la contrebande et le commerce, il y avait une guerre sanglante pour contrôler l’industrie. Bien qu’il ne s’attarde pas sur un meurtre ou un crime particulier, le film est riche en détails sur les tenants et aboutissants du commerce des stupéfiants.
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Gringo : La vie dangereuse de John McAfee
Année : 2016
Réalisatrice : Nanette Burstein
Rotten Tomatoes : 100 pour cent
Note de la rédaction : Il fut un temps où le nom de John McAfee était le plus souvent associé au logiciel antivirus qu’il avait créé pour les PC, à l’époque où les gens commençaient tout juste à utiliser fortement Internet, et où la crainte d’une attaque sur un système d’exploitation était renforcée grâce aux informations du soir. Alors que l’on pourrait supposer que John McAFee partageait les mêmes traits de caractère que d’autres sommités de la Silicon Valley comme Steve Jobs ou Bill Gates, l’homme partageait en réalité des liens plus étroits avec un chef de guerre après s’être aventuré au Belize, avoir formé une milice de fortune et être devenu le principal suspect dans le meurtre d’un de ses voisins.
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The Inventor : Out for Blood in Silicon Valley
Année : 2019
Réalisateur : Alex Gibney
Rotten Tomatoes : 75 pour cent
Note de la rédaction : L’Inventeur est un autre film qui ne crie pas nécessairement au » vrai crime « , mais en décortiquant l’histoire d’Elizabeth Holmes, on se rend compte qu’une sorte de fraude massive a eu lieu. La société d’Elizabeth Holmes, Theranos, cherchait à bouleverser l’industrie multimilliardaire des tests sanguins avec une sorte de boîte magique qui pouvait utiliser une seule goutte de sang capillaire pour effectuer plus de 200 tests. Si cela semble trop beau pour être vrai, c’est parce que ça l’était.
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Murder Mountain
Année : 2018
Réalisateur : Joshua Zeman
Rotten Tomatoes : 81 pour cent
Note de la rédaction : Avec les lois sur la marijuana qui changent à travers le pays, les gens en sont probablement venus à supposer que le changement de son statut au niveau de l’État a complètement chassé l’élément criminel. Murder Mountain fonctionne sur deux niveaux. Le premier est centré sur la disparition de Garret Rodriguez, un cultivateur de cannabis, qui s’est volatilisé dans la section d’Alderpoint du comté de Humboldt, en Californie – qui avait gagné le surnom douteux de « Murder Mountain » parce qu’elle était devenue une plaque tournante pour les cas de personnes disparues. Deuxièmement, le film fait un travail admirable en essayant de montrer qu’un marché gris existe entre le monde des opérations de culture légales et illégales.
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The Act of Killing
Année : 2013
Réalisateur : Joshua Oppenheimer
Rotten Tomatoes : 95 %
Note de la rédaction : The Act of Killing se déroule comme un rêve éveillé. Le réalisateur, Joshua Oppenheimer, a choisi d’explorer le génocide indonésien de 1965-1966 en utilisant les témoignages de ceux qui ont participé au massacre. Bien que l’on s’attende à de simples interviews, au lieu de cela, le film utilise des recréations élaborées – à partir de genres auxquels on ne s’attend pas comme les comédies musicales et les westerns – pour que les sujets soient suffisamment à l’aise pour parler de ce qui s’est réellement passé.
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Operation Odessa
Année : 2018
Réalisateur : Tiller Russell
Rotten Tomatoes : 100 pour cent
Note de la rédaction : Malgré son titre plutôt anodin, Operation Odessa est une riche étude de caractère sur un playboy de Miami, un gangster russe et un trafiquant de drogue cubain qui ont fini par se lier d’amitié. Au début, cette amitié se traduit par quelques chicaneries de bas étage. Mais le trio commence à voir plus grand ; alors que l’Union soviétique s’effondre, ils pensent qu’il est possible d’acheter un sous-marin et de le vendre aux membres du cartel de la drogue de Cali en Colombie.
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American Vandal
Année : 2017
Réalisateur : Tony Yacenda
Rotten Tomatoes : 98 pour cent
Note de la rédaction : La principale critique contre le genre du vrai crime est qu’ils couvrent des sujets lourds qui rendent le visionnement très difficile. American Vandal renverse complètement le genre avec une approche parodique qui ne parvient jamais à reconnaître qu’il s’agit d’une comédie en premier lieu. Ils traitent le crime – quelqu’un a vandalisé un groupe de voitures en dessinant des bites sur l’extérieur – avec le sérieux, les reconstitutions et les mystères que nous associons à une approche plus traditionnelle.
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The Witness
Année : 2015
Réalisateur : James Solomon
Rotten Tomatoes : 90 %
Note de la rédaction : Lorsque Kitty Genovese a été sauvagement assassinée à Kew Gardens, dans le Queens, à New York, 38 personnes ont vu le crime se produire. On pourrait penser que quelqu’un a vu quelque chose qui aiderait l’enquête. Au contraire, cela a révélé à quel point l’apathie des passants était et reste un problème majeur dans la résolution d’un crime. 50 ans plus tard, son jeune frère, Bill, a repris l’affaire pour non seulement obtenir justice, mais aussi pour comprendre pourquoi ceux qui étaient à la périphérie n’ont pas voulu aider en ce jour fatidique.
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Into the Abyss
Année : 2011
Réalisateur : Werner Herzog
Rotten Tomatoes : 92 pour cent
Note de la rédaction : La méditation de Werner Herzog sur la peine capitale est réalisée à travers la vie de deux tueurs condamnés ; Michael Perry qui était dans le couloir de la mort à Huntsville, au Texas, et son complice, Jason Burkett, qui a été condamné à 40 ans de prison. Puisque les deux sont incarcérés, le film porte moins sur la poursuite de la justice, et plus sur le processus de pensée derrière non seulement leurs crimes, mais comment nous, en tant que société, continuons à soutenir la peine capitale.
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The Disappearance of Madeline McCann
Année : 2019
Réalisateur : Chris Smith
Rotten Tomatoes : 50 pour cent
Note de la rédaction : Pour les personnes au Royaume-Uni, The Disappearance of Madeline McCann est un film qui peut ressasser des sentiments sur un crime qui a déjà été fortement examiné. Mais pour le public du monde entier, l’affaire est fascinante et nouvelle. Lorsqu’une jeune fille disparaît de la suite de vacances de sa famille au Portugal, la famille reçoit un soutien massif. Mais alors que l’affaire de la personne disparue passe le cap des 100 jours, l’attention se concentre sur les parents eux-mêmes. Si la série est loin d’être parfaite, elle capte plutôt bien la claustrophobie du cirque médiatique.
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Don’t F**k With Cats : Hunting an Internet Killer
Année : 2019
Réalisateur : Dimitri Doganis, Adam Hawkins
Rotten Tomatoes : 67 pour cent
Note de la rédaction : Lorsqu’une vidéo sadique émergeant d’une personne torturant des chats fait le tour d’Internet, plusieurs limiers amateurs se réunissent pour tenter de le démasquer. Ce qui commence comme une enquête sur la cruauté envers les animaux se transforme en un véritable mystère de meurtre.
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FYRE : The Greatest Party That Never Happened
Année : 2019
Réalisateur : Chris Smith
Rotten Tomatoes : 92 pour cent
Note de la rédaction : À l’heure actuelle, la plupart des gens sont au courant de la catastrophe qu’a été le Fyre Festival. Mais comment était-ce exactement d’être sur le terrain lors du rassemblement malheureux, et comment exactement les pouvoirs en place ont-ils réussi à tromper tant de gens en leur faisant croire que ce serait le paradis ?
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The Confession Killer
Année : 2019
Réalisateur : Rober Kenner et Taki Oldham
Rotten Tomatoes : 100 pour cent
Note de la rédaction : La plupart des documentaires sur les vrais crimes s’appuient sur une formule simple où la police tente de traquer un tueur. Ce principe est bouleversé dans The Confession Killer lorsque Henry Lee Lucas commence à avouer tous les meurtres inexpliqués commis aux États-Unis. L’a-t-il vraiment fait, ou est-ce le cas du système de justice pénale qui accepte les réponses faciles ?
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